Au-delà de l’insatisfaction générale de 64 %% des Franciliens, les résultats de cette étude mettent en relief un certain nombre de paradoxes et clivages quant à leurs attentes, montrant l’étendue de la tâche à accomplir dans les années qui viennent. La confiance est également en bonne place dans cette prospective et, à ce stade, l’effet « proximité » joue à plein. Les personnes interrogées placent en effet leurs espoirs dans l’action de leur maire (46 %%) et de leurs conseillers généraux (49 %%). L’efficience de l’Etat est bien en retrait avec seulement 16 %% des « suffrages ». Reste que 26 %% des Franciliens considèrent qu’aucun de ces acteurs ne mènent une politique pouvant être qualifiée « d’efficace »pour le logement.Le prix émerge, par ailleurs, comme la principale préoccupation : 60 %% des personnes interrogées attendent que leurs futurs édiles« prennent position en priorité sur ce sujet ». C’est particulièrement vrai pour les moins de 35 ans (69 %%) et les Parisiens (70 %%). Parmi les autres préoccupations viennent ensuite les conditions d’accession à la propriété (33 %%), les projets de constructions immobiliers (30 %%) et l’entretien du parc locatif existant (27 %%).
Le logement entre deux tours
Pierre angulaire du développement du Grand Paris, le logement s'est invité aux élections municipales, notamment à travers un sondage réalisé par la FNAIM, en partenariat avec Harris Interactive.
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