AccueilActualitéSociétéUn chauffard rentre dans une voiture de gendarmerie et part à contre-sens

Un chauffard rentre dans une voiture de gendarmerie et part à contre-sens

L’automobiliste de 29 ans vient d’être condamné à une peine de prison avec sursis avec une annulation de son permis de conduire.
Le conducteur a percuté de côté la voiture des gendarmes sur la Nationale 2, vers la commune de Saint-Mard.
© Gendarmerie de Seine-et-Marne - Le conducteur a percuté de côté la voiture des gendarmes sur la Nationale 2, vers la commune de Saint-Mard.

ActualitéSociété Publié le , Cecilia CAVASSONI

Voici le “champion du jour”, comme l’a surnommé la gendarmerie de Seine-et-Marne sur Twitter : un automobiliste de 29 ans qui a engagé le 22 juillet une course-poursuite avec la gendarmerie aux alentours de 19 heures sur la Nationale 2, vers la commune de Saint-Mard. Le conducteur a écopé de deux ans de prison avec sursis, dont un an avec bracelet électronique, et d'une annulation de son permis de conduire.

Une course-poursuite sur la N2

Samedi 22 juillet en début de soirée, le conducteur, résidant au Blanc-Mesnil en Seine-Saint Denis, roule sur la Nationale 2 vers Dammartin-en-Goële quand il croise une voiture de gendarmerie. Ces derniers repèrent alors un défaut d’assurance de la Twingo à bord de laquelle se trouvent trois personnes. Alors qu’ils font signe au conducteur de s’arrêter pour effectuer un contrôle de son véhicule, ce dernier s’arrête. Une fois les gendarmes proches de la Twingo, il redémarre brusquement. Il atteint jusqu’à 130km/h sur la N2, limitée pourtant à 110km/h. Une course-poursuite s’engage alors. Le conducteur effectue des manœuvres dangereuses jusqu’à percuter la voiture des gendarmes sur le côté.

Il tente de les semer en faisant un brusque demi-tour, remonte la nationale à contresens sur 2km puis finit par s’arrêter sur le bas-côté. Les trois passagers de la voiture sortent de la Twingo et s’enfuient à travers les champs. Cinq jours plus tard, il a été interpellé à son domicile, au Blanc-Mesnil. L’interpellation n’ayant pas eu lieu sur le moment, impossible de savoir s’il était sous l’influence d’alcool ou de stupéfiants.

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